Au Burkina Faso, les filles sont excisées ; celles qui ne le sont pas ne trouvent pas toujours un mari.
Elles souffrent….
Une jeune femme m’a un jour dit : « J’ai été excisée, ma fille le sera aussi ! »
Pensait-elle au mariage de sa fille ou était-elle envieuse d’une autre vie possible ?
Je ne sais mais observe semblable ambiguïté avec les vaccins covid: » Je suis vacciné,tu dois l’être aussi. »
Pourtant, si les « piquouzés » se savaient protégés, ils se moqueraient de l’attitude des autres…
Comme, en Afrique, quand je me moquais des non-vaccinés contre les maladies tropicales.
Ici, il s’agit d’un vaccin expérimental et tout le monde est inquiet de ses conséquences à long terme.
La population sert de cobaye et, pour donner un sens à leur acte, les personnes traitées veulent l’imposer à tous.
Même des ministres « vaccinés » qui attrapent le covid maintiennent l’obligation vaccinale…
Par chance, un « cygne noir » est apparu, un vaccin « classique » est disponible !
Pourrons-nous en bénéficier ou devrons-nous, comme les filles excisées, nous plier aux exigences ?
Claude Brasseur

